Aelita Stones [Acceptée !]

Aelita vit dans une maison de taille moyenne aux abords de la forêt, entourée d'un grand jardin où poussent une multitude de plantes et d'arbres fruitiers qui ne donnent qu'une envie : les manger. A l'intérieur de la maison, le hall vous accueil et mène à un salon confortable où de grands fauteuils occupent l'espace devant la cheminée où brûle souvent un grand feu. Un peu plus loin se trouve une grande Salle à Manger où tous les convivent sont invités à y manger durant des fêtes. Juste à côté, se trouve la cuisine où Aelita fait ses bon petits plats puis les escaliers qui mènent à l'étage où se trouvent trois chambres (une pour M Georges Stones, une pour Aelita et une pour les amis, la famille n'étant plus) ainsi qu'un magnifique bureau et une salle de bain. Au second étage se trouve un grenier spascieux où la jeune fille aimme s'y retrouver

C'est un véritable vif-argent qu'Aelita qui possède l'art et la manière de passer d'un état émotionnel à un autre en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire ! Hypersensible et particulièrement féminine, elle est un mélange de femme-enfant, charmante, sensible et douce ; et de maîtresse femme, conquérante, séductrice et entreprenante... une sacrée personnalité qui oscille entre timidité, effacement, dépendance, soumission et leur contraire. Il est vrai que bien-être et équilibre affectif lui sont nécessaires pour développer son assurance. Ainsi pourra-t-on la voir tour à tour réservée et timide, intériorisée, ravie de passer inaperçue, puis pétillante, espiègle, enchanté d'être sur le devant de scène et même effrontée, selon que l'ambiance dans laquelle elle se trouve est affective ou non... Elle oscille entre des phases d'hésitation et d'autre où elle est capable de tenter le tout pour le tout. C'est une affective qui a un grand sens de l'amitié, et montre des qualités certaines d'écoute, de finesse, et de psychologie certaines, ayant à la fois un sens aigu des détails et un intérêt pour ce qui est intimiste. L'humour est l'une de ses caractéristiques, et s'en sert souvent, tout autant pour sauver la face lorsqu'elle est dans ses phases à haute nerveuse que pour plaire ou encore faire un bon jeu de mots. Curieuse est insatiable, Aelita aime la lecture, mais son bavardage incessant devra être surveillé si vous ne voulez pas vous retrouver perdu dans des détails. Extravertie, elle aime communiquer, plaire, séduire et possède un charme fou. Elle rêve d'être le point de mire d'une assemblée ou d'un public qu'elle sait animer par sa présence et ses facultés d'expression. Tout en ayant besoin d'une sécurisation affective, elle déteste la monotonie et apprécie l'aventure et es nouveautés. Enfin, la vie est un peu un jeu pour elle, aussi possède-t-elle un coté ludique. Sentimentalement, c'est une femme agréable et de bonne humeur qui met de l'ambiance dans une maison, une hôtesse remarquable et remarquée. Certes, elle est séduisante, mais ne vous y fiez pas messieurs, à son sourire angélique : au fond c'est une insoumise qui ne se laisse pas si facilement séduire.
AU TRAVAIL AELITA ! Il lui arrive bien d'échouer par les voies les plus accessible, en gaspillant les chances les plus évidentes, les moyens les plus à sa portée, que triompher par les détours les plus inattendus, les chemins où nul n'aurait osé s'aventurer, où tout autre se serait irrémédiablement égaré. Plus le milieu est vaste, flue, voire inconfortable, plus elle se sent à l'aise. C'est donc souvent dans les activités marginales, des carrières d'appoint, par des rencontres fortuites, des coups de fortunes inespérés, qu'elle réussit le mieux. Autrement, dans les cas les PLUS négatifs, Aelita peut être entraînée, presque malgré elle, (parce qu’elle subit les influences et se prête aux manœuvres tortueuses) dans des imbroglios d'affaires suspectes, plus ou moins légales, de procédés douteux, d'opérations suspectes ou franchement fluctueuse... Son itinéraires professionnel est généralement fluctuant, instable, parfois incohérent - marche à la fois fiévreuse et alanguie sur des sables mouvants. Au reste, elle joue sur une gamme de réactions et de comportements assez variés : tout en s'immergeant dans les eaux troubles d'une glauque insécurité, dans un bizarre mélange d'erreurs, de gaffes, d'à-peu-près et d'opportunisme, elle peut se tirer parfaitement des situations les plus tordues et les plus impossibles - exploitant même les éléments les plus embrouillés, les plus absurdes, en apportant soudain des solutions miraculeuses. N'essayant jamais d'imposer son jugement, d'exercer une quelconque pression sur la volonté d'autrui, on la voit se plier devant l'autorité - par l'esquive ou la dérobade - et laisser aux autres l'entière indépendance de leurs opinions, options et initiatives. Pour atteindre la pleine mesure de son rendement, elle a besoin de se sentir soutenue, comprise, aimée, portée par un courant, une ambiance inconditionnellement favorable, bien veillant, amicale. Si elle n'est pas littéralement "dans le bain", elle étouffe et s'asphyxie. Sa faiblesse est de ne savoir résister aux tentations et sollicitations multiples et contradictoires, de mal se contrôler, de se laisser trop aisément disperser, séduire, emporter par le flot des événements extérieurs ou de sa propre effervescence, avec une confiance exagérée, un peu laxiste, aux circonstances - ou à la providence. Si elle s'agrège spontanément à l'ensemble d'une collectivité ou d'une communauté, elle ne s'accorde pas volontiers aux structures particulières d'un groupe, aux détails d'une équipe, aux impératifs d'organisation, de précision, de délai, de répartition de tâches, des compétences et des spécialisations. Certes, elle accomplit assez docilement ce qu'on lui demande, mais elle demeure étrangère aux méthodes des rationnelles, et réfractaire aux carences de la discipline. Plus épris de pittoresque et de chimère que d'efficacité, plus fantaisiste que ponctuel, elle évolue dans un fouillis, un fatras, un magma où elle est la seule à se repérer - et, qui peut même dans certains cas lui fournir les bases d'une surprenante méticulosité, véritable chaos à rebours.
INTELLIGENCE OU PAS INTELLIGENCE ? La caractéristique principale d'Aelita est sa malléabilité psychique, qui conduit à une très grande plasticité mentale et à une ouverture intellectuelle aux nombreuses disciplines de l'esprit humain. Malheureusement comme elle s'intéresse à tout, elle a tendance à survoler les choses et à faire trop confiance à son intuition, par laquelle elle a l'impression d'acquérir une connaissance profonde de la réalité. Elle risque donc ainsi de surestimer ses facultés intellectuelles et risque de perdre du temps en s'engageant dans des voies qui ne lui correspondent pas réellement. La véritable "intelligence - Aelita" consiste à embrasser un maximum de systèmes de pensée, à relier les unes aux autres des idées apparemment dénudées de rapport : son intuition lui dévoile les fils ténus qui courent, indispensables, sous l'apparence des choses. Cette faculté, liée à l'imagination, peut aussi conduire à une sorte de génie créatif mais aussi un opportunisme exceptionnel. Mais tout en Aelita n'est pas "abstrait". Elle bénéficie, par exemple, d'un remarquable sens du commerce. Mais lorsqu'elle ne parvient pas à dominer, à canaliser les courants innombrables auxquels son esprit est réceptif, elle devient brouillon, étourdis, nébuleuse. Aelita a besoin d'éprouver ses capacités et d'affermir ses préférences pour telle ou telle discipline. Mais pour simplifier le problème, on peut dire qu'en règle générale, elle marque une préférence pour les carrières artistiques, la psychologie, les sciences sociales et militaires et/ou policières. Ce qui n'existe pas son imagination mobilise moins son attention. Elle apprécie peu les faits rigoureux et les leçons normalisantes. Elle est cependant portée sur les mathématiques et l'informatique car elle y a perçut depuis son plus jeune âge, leur universalité. Aelita n'ayant pas un tempérament de solitaire, préfère les activités qui s'exercent au sein d'une collectivité ou dans un but humanitaire. Elle aime venir en aide aux autres et se sentir utile au groupe. Ce qui compte avant tout pour elle, c'est de pouvoir s'exprimer, que ce soit par le biais d'une activité artisanale ou artistique, ou de sentir, pour le moins, qu'elle ne végète pas dans l'anonymat complet et que son action change un petit quelque chose dans l'ordre du mode.

Aelita est une jeune fille de dix-sept ans, autrement dit, une adolescente. Ses cheveux chatains, soyeux, lui tombe sur les épaules en une cascade. lumineuse. Aelita est jeune et le fait de n’avoir que cent soixante-dix ans fait d’elle une fille belle et désirable. Son air enfantin lui donne un aspect de petite fille a protégé mais les courbes de son corps lui donne aussi un côté femme qui font fondre les hommes. Elle est de type occidentale (sa peau est donc beige). Elle a les yeux bleus d’eau et une taille svelte. Le rêve de toutes les jeunes filles. Elle aime beaucoup porter des vêtements qui sortes de l’ordinaire mais porte aussi très bien autres jupes et pantalons en jeans qui font d’elle une jolie fille.

Aelita est a vu le jour un Vendredi treze Mars et se fut un jour de bonheur mais aussi de grand malheur... En effet, Aelita perdit sa maman quand celle-ci la mit au monde. Les médecins avaient fait tout leur possible pour la réanimer mais malheureusement, madame Stones perdit la vie à 03h47. Le bébé de la défunte épouse de Georges Stones, semblait être entouré d'un hallo protecteur et les médecins y avaient convenu que cette petite fille serait très spéciale.
"C'est un cadeau de Dieu", dit l'un.
- Non ! Plutôt de la Vierge Marie, affirma un autre.
- Je pense plutôt que se sont les anges qui l'on sauvés, fit un troisième non plus futé que les autres.
En réalité, Aelita était une petite fille née par des moyens aussi banals que courants mais sa vie serait remplie de courses contre la montre, de rêves et de mondes imaginaires. Cette date du 13 Mars resta gravée dans les annales de l'hôspital où Aelita naquit et se répercuta bien au-delà. Dans une comtrée voisine, la nouvelle parvint à une vielle femme qui elle avait son enfant il y avait à présent quatre ans. Etant veuve, mais riche, elle cherchait déjà la futur femme de son fils, Edouard. Celui-ci était laid et sa personnalité autant que son caractère reflétaient cette laideur car il n'était ni gentil, ni aimable, ni bien élevé ; non ! Se n'était qu'un homme d'une grossièreté sans égale qui ne pensait qu'à lui hors au bout de dix ans on lui promit la main d'Aelita. Il l'avait rencontré lors d'une promenade dans le domaine de sa mère. La jeune fille ne se doutait absolument pas de se qui l'attendait mais sept ans plus tard, le retour de flamme de sa beauté et de son charme lui vint à la figure. Le 16 Novembre, Georges frappa à sa porte.
- Bonsoir ma petite Princesse, fit-il en entrant.
Aelita était en train de se brosser les cheveux d'un mouvement ample et délicat. Elle se tourna vers son père qui eut pitié d'elle. Il vint s'asseoir sur le lit de la jeune fille et lui demanda de venir à ses côtés. Aelita posa sa brosse et s'installa à côté de lui. Georges ne savait par où commencer car il n'aimait pas se qu'il allait dire car il était contre les mariages arrangés pourtant s'était lui, et lui seul qui avait proposé la main de sa fille mais il ne l'avait pas fait pour l'argent, il l'avait fait pour lui, pour son amour qu'il avait envers la Comtesse de Condriac qui elle lui avait promit sa main si il acceptait que son fils prenne pour épouse Aelita. Après un moment de silence monsieur Stones fit à sa fille :
"Aelita, tu dois trouver ta place dans ce monde et pour ça, te marier... Tu le seras demain avec le Comte de Condriac, cet homme charmant..."
Il ne put finir sa phrase car Aelita était partie en courant le laissant derrière lui dans un silence pesant. Aelita courut dans la forêt les yeux beignés de larmes puis remonta une colline pour s'asseoir près d'un arbre. Qui aurait crut que l'arbre en question était l'entrée principal d'un monde des plus fantastique où les animaux parlent et les fleurs chantent ? Qui l'eut cru et bien, Aelita, oui. Laissez-moi vous raconter comment le crut-elle.
Aelita pleurait à chaudes larmes prêt de cet arbre pas banal quand tout à coup... CRAC ! Le sol sous elle s'effondra laissant deviner l'entrée d'un terrier de lapin mais la chute fut bien longue et l'atterrissage douloureux. La jeune fille se releva et regarda autour d'elle. La piece dans laquelle elle se trouvait était circulaire et le sol était un carrelage où des carreaux blancs et noirs étaient disposés en forme d'échiquier [je fais par rapport au film]. Autour se trouvait une multitude de portes dont l'une était cachée par un rideau long et pourpre. Au centre de la pièce trônait une table sur laquelle se trouvait deux choses : un flacon et une clef. Aelita prit la clef et essaya d'ouvrir toute les portes, elle tomba en dernier sur celle cachée derrière le rideau mais par malchance elle était d'une taille minuscule et impossible de passer. Elle posa la clef par terre et retourna vers la table. Le flacon y était encore et on pouvait y lire : "Buvez-moi". Aelita regarda la bouteille, perplexe puis après un instant d'hésitation la prit et en but une partie. Dès cette instant, elle se mit à rappetir. Tellement bien qu'elle se retrouva ssez petite pour passer par la porte. Elle le fit et se retrouva dans le monde enchanté du Pays des Merveilles.